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9 mars 2017 4 09 /03 /mars /2017 13:29

En suivant droit devant le littoral

Tu parviens aux Iles

Tu arrives dans la lagune

Où j’ai bu ma première gorgée d’eau

Berceau de tant d’amour

Dans le cœur de l’homme la nostalgie ne finit pas

 

Nandipo

O Nandipo

Quand te reverrai-je ?

 

Là-bas d’où je viens l’argent est un inconnu

Mais dans notre lagune le machoiron pullule

A Nandipo la parenté n’est pas que dans l’argent

Et il y a de la joie

Et il y a de la joie

Ton ami c’est le mien

 

Nandipo

O Nandipo

Quand te reverrai-je ?

 

On dit que là-bas les femmes sont des fées

Beauté de légende, amour dans le cœur

Regarde Afia, regarde Kita

On dit que là-bas les femmes sont des fées

Beauté de légende, amour dans le cœur

Qu’il fait bon vivre à Nandipo

 

Nandipo

O Nandipo

Quand te reverrai-je ?

 

On dit que là-bas les opiseaux sont sans nombre

Perdrix, pigeons, perroquets, perroquets…

Quand ils parlent nous comprenons

« vous qui partez ; partez mais revenez »

Nandipo le pire c’est toujours la mort

Le meilleur sera mon retour

 

Nandipo

O Nandipo

Quand te reverrai-je ?

Texte abordé hier en lecture méthodique avec la classe de 1ère S1...Suite et fin vendredi 

Groupement thématique n°1: de la poésie à la chanson avec l'oeuvre de Pierre Claver Akendengue

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9 mars 2017 4 09 /03 /mars /2017 13:28

Mon Français (page 27)

 

Je jargonne pas

Je cause français

Français moule fidèle de ma culture

Français certifié conforme

De ma vision du monde

 

Je jargonne pas

Je cause français

Francophonie symphonie

De la diversité expressionnelle

Des voix isocèlement complémentaires

 

Mon français n’est un baragouin

Susciteur du rire polyphasé

Le long des rues mortier-pilon

 

Mon français n’est pas un baragouin

Tiré du petit nègre du couscous maghrébin

Mon français n’est pas ce machin vulgaire

Des gargotes de mengorokome fumivores

 

Mon français est bien francophone

C’est un affluent influent ravitaillant

Le courant des torrents conduisant

Au confluent du respect d’autrui

Mon français tam-tame au rythme de ma voix iodée

Il xylophone à la cadence vespérale des chats-huants

Il cithare au son de mes vocables

Préparés à la sauce de mon environnement spécifique

Baobab-okoumé-potopoto

Ozigo-foufou-bangala

 

Je ne jargonne pas

Je cause français

Du vrai français

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9 mars 2017 4 09 /03 /mars /2017 13:26

Chant de noces (page 41)

 

Mon fils a réfléchi

Il a pensé au mariage

Il est venu chez toi

Tu l’as aimé

Et il t’a enlevée

Le mariage est conclu

C’est définitif

 

Ma fille,

Sois tranquille,

Sois sérieuse

Ne regarde pas d’autres pantalons

La femme n’est pas un bus

Qui ne refuse personne

Tu rencontres NDONG

« Viens monter »

Tu rencontres ELLA

« Viens monter »

Tu rencontres NDOUMOU

« Viens monter »

La femme n’est pas un autocar

Qui embarque tout le monde…

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9 mars 2017 4 09 /03 /mars /2017 13:21

De la calvitie (page 13)

 

Il existe plusieurs genres de calvities

Les calvities des grands sages

Celles des personnes normalement âgées

Celles relevant de la pathologie

Celles des escrocs et des radins

Cette dernière (la plus intéressante)

Provient du grattage assidu des tetes

Par ceux qui veulent mentir, tromper

C’est ainsi que crin par crin

Leurs cheveux tombent et laissent

Leurs ciboulots aussi lisses qu’une citrouille

De mes rêves…

 

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9 mars 2017 4 09 /03 /mars /2017 13:18

Afrique

mère

me voici nostalgique

la nuit est mûre

aux obsèques du soleil

défunt

une moitié de mes souffrances

se fait ténèbres

je n’ai pas oublié l’âge

des nuits capricieuses

les regards de mon regard

au miroir de tendres rêves

effondrés

l’hymne du tam-tam sur les ondes

profanes

devenu message orphelin

et crispé aux coudes de l’espoir

déraillé

hélas

des hommes ont tenté de couper

mon nombril

pour me séparer de toi

mère

et notre dialogue

depuis le premier matin

de ma vie

est toujours troublé par des parasites.

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9 mars 2017 4 09 /03 /mars /2017 13:07

Petit-Paris a pleuré

                       En cette nuit moirée

                            Martelée par les cris stridents

                                                   D’hommes et de femmes abasourdis.

                                                   Les oreilles de Zoa ont vibré ;

                                                  Dans une fortification en contrebas,

                                                 Des enfants lapés par les lames de feu,

                                           Se consument au fond d’un puits de flammes,

                                                 Abîme brûlant, rougeâtre et jaunâtre,

                                         Prisonniers d’une forteresse d’acier incandescente.

                                               Par instinct de survie, au sein de leur âtre

                                           Des bambins candides, de chair et d’os meurtris

                                                 Communiant dans leur passion, tentent

                                                            De conjurer le sort.

Fondant, calcinés, agglutinés

Autour de l’aîné, ils cherchent un port.

Les cinq petits êtres, la combustion

Aidant, se muent en lave de plomb

Suintante, bientôt séchée et moulue.

Pendant cette nuit lugubre

                         Petit-Paris a pleuré

                     Les yeux de Zoa ont vu :

         Hommes et femmes jusqu’au sang, émus

                Bras ballants, impuissants,

            Assister à ce spectacle révoltant.

             Des pompiers arrivés bien trop tard

- Manque de carburant ? Peur des farceurs ? -

Ayant pour équipement sinistre et meurtrier

Un matériel de fer et d’acier, puis

Trois petits cercueils noirs

Défoncent, arrachent, scient

Portes et fenêtres pour extirper

De cette fournaise l’amas de corps

Calcinés, carbonisés, lacérés de

ASAFA, ABOU, MOUSSA

DADA et AICHA !!! (…)

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9 mars 2017 4 09 /03 /mars /2017 12:59

Yes we can (oui nous pouvons)

« Lorsque nous avons surmonté des épreuves apparemment insurmontables ; lorsqu’on nous a dit que nous n’étions pas prêts, ou qu’il ne fallait pas essayer, ou que nous ne pouvions pas, des générations d’Américains ont répondu par un simple credo qui résume l’esprit d’un peuple.

« Oui, nous pouvons.

« Ce credo était inscrit dans les documents fondateurs qui déclaraient la destinée d’un pays.

« Oui, nous pouvons.

« Il a été murmuré par les esclaves et les abolitionnistes ouvrant une voie de lumière vers la liberté dans la plus ténébreuse des nuits.

« Oui, nous pouvons.

« Il a été chanté par les immigrants qui quittaient de lointains rivages et par les pionniers qui progressaient vers l’ouest en dépit d’une nature impitoyable.

« Oui, nous pouvons.

« Ce fut l’appel des ouvriers qui se syndiquaient ; des femmes qui luttaient pour le droit de vote ; d’un président qui fit de la Lune notre nouvelle frontière ; et d’un King qui nous a conduits au sommet de la montagne et nous a montré le chemin de la Terre promise.

« Oui, nous pouvons la justice et l’égalité. Oui, nous pouvons les chances et la prospérité. Oui, nous pouvons guérir cette nation. Oui, nous pouvons réparer ce monde.

« Oui, nous pouvons. »

Barack Obama, Discours de campagne dans le New Hampshire, 10 janvier 2008.

 

 Questions (10 points)

1-     Identifiez le type de texte et justifiez votre réponse. (2,5 points)

2-     Quel est le type de raisonnement utilisé par l’auteur ? Démontrez-le. (2,5 points)

3-     Comment l’auteur s’implique-t-il dans ce texte ? Relevez et interprétez des indices textuels précis. (2,5 points)

4-     Quel est le but de l’auteur ? Justifiez votre réponse. (2,5 points)

 

Travail d’écriture (10 points)

Etayez la pensée de l’auteur : « Oui, nous pouvons la justice et l’égalité. Oui, nous pouvons les chances et la prospérité. Oui, nous pouvons guérir cette nation. Oui, nous pouvons réparer ce monde ».

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9 mars 2017 4 09 /03 /mars /2017 12:58

Nous pensons que les écologistes ont le devoir d’être d’abord des résistants

Résister pour incarner une véritable alternative politique. Face à la montée de l’extrême droite, aux divisions de la droite et à la chute du communisme, de nombreuses personnes espèrent autre chose que la politique du « moins pire » proposée par le PS.

Résister pour ne pas cautionner le clientélisme ou les « nécessités » du financement occulte des partis. Une gestion partisane est toujours une mauvaise gestion. Au contraire, il faut gérer les affaires publiques dans la plus totale transparence.

Résister parce que le choix à Aix ou au niveau national sont anti-écologiques. Relance du nucléaire, tout TGV à la SNCF, technopoles, automobiles, parkings et voies rapides, …il n’est question que de projets lourds et destructeurs. Au lieu de valoriser les infrastructures et les potentialités locales pour un développement mieux réparti et plus doux, ces projets pharaoniques consomment toutes les ressources financières qui ne sont plus, dès lors, disponibles pour une réelle prise en compte de l’environnement. 

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9 mars 2017 4 09 /03 /mars /2017 12:53

Il nous incombe de redéfinir les conditions d’appropriation des langues dites « internationales », de veiller à la promotion de nos langues, en les dotant de l’arsenal technique susceptible d’en faire des langues capables de transcrire la réalité du quotidien des Africains en discours scientifiques fiables. Donner un caractère scientifique à nos langues, leur donner les moyens de s’approprier le réel au moyen de techniques linguistiques scientifiques permettrait, en effet, de résoudre considérablement les importants problèmes d’analphabétisme (ou de sous alphabétisation) et le fort taux d’échec scolaire (dû à l’inadéquation entre langues vernaculaires et langues importées) observés aujourd’hui encore dans un nombre non négligeable de nos pays. Le constat est suffisamment éloquent pour ne laisser personne insensible : entre 20 et 30% d’Africains seulement (c’est-à-dire en fait, une minorité) peuvent se targuer d’avoir une maitrise parfaite (écrite et orale) des langues héritées de la colonisation. La question est donc la suivante : pourrait-on, en toute lucidité, envisager d’atteindre les objectifs affichés de développement effectif, en laissant sur la touche la très large majorité des populations rurales et urbaines insuffisamment alphabétisées qui constituent près de 70% à 80% des habitants du continent africain ? Peut-on, sans risque d’échec évident, aller à la pêche amputé de ses bras et en disposant à peine que du quart de sa force ? Peut-on impunément se priver d’un capital potentiellement important de ressources humaines et d’expertises de tous genres ? L’utilisation par nos élites des langues étrangères ne doit pas occulter le devoir où nous nous trouvons de promouvoir nos langues « maternelles ». S’il est important pour les Africains de s’approprier les nombreuses langues internationales qui sont aujourd’hui en vigueur dans le monde, pour ne pas être à la traine des progrès réalisés ces derniers temps, il n’en reste pas moins primordial qu’ils se doivent aussi, pour qu’ils puissent élaborer des stratégies de développement autocentré plus en rapport avec les qualités du terrain, pour rendre plus efficace la participation des populations au processus d’approcpriation des mécanismes de développement effectif (populations jusque-là écartées, parce que pour partie analphabètes ou insuffisamment alphabétisées), il importe pour les Africains, disons-nous, de faire de la valorisation de leurs langues respectives un objectif aussi digne d’intérêt que la question des transferts de technologie dans les pays sous-développés. Il importe au premier chef que les Africains (intellectuels et non intellectuels confondus) apprennent à développer leurs capacités à créer, à inventer et à innover, sans devoir se résigner en retour à opérer quasi systématiquement une rupture, parfois déstabilisante pour leur Moi, avec leurs milieux socioculturels initiaux. Il est à regretter que les Africains continuent encore à se définir, parfois avec un étonnant acharnement, comme essentiellement francophones, anglophones, lusophones, hispanophones, arabophones. Et, eu égard à ces critères « objectifs » de différenciation, d’aucuns ont été jusqu’à postuler sinon l’impossibilité du moins de sérieuses difficultés pour ces Africains de langues différentes à s’entendre, à coopérer efficacement dans une atmosphère non antagonique. La conséquence a été pendant longtemps un attachement plus profond entre les ex-colonies avec leurs anciennes métropoles, le tout au détriment des attaches culturelles et autres obligations historiques et géostratégiques qui lient pourtant entre eux certains peuples africains. Bref, la coopération s’en est trouvée ralentie, al méfiance réciproque suscitée, entre autres, par les anciens colonisateurs étant une des variables que l’on ne saurait négliger dans l’analyse des relations entre les Etats africains. Penser, par exemple, au fameux complexe dit de Fachoda, cette réponse constante anti-anglo-saxonne manifestée par la France, en réaction à l’influence progressive des intérêts de la Grande-Bretagne, et surtout, aujourd’hui, de la percée des Etats-Unis au cœur du continent africain.

Landry P.R.Ndounou, « Ethiopiques », n°81, 2e semestre 2008

I-Questions de compréhension et d’analyse (10 points)

1- Relevez et justifiez dans le texte trois indices différents de l’implication du locuteur. (3pts : 1+1)

2- Quel rôle joue dans l’argumentation le passage du quatrième paragraphe allant de : « s’il est important à…pays développés ». Justifiez votre réponse à partir des indices textuels. (3 pts : 1,5 + 1,5)

3- Sans reprendre le texte, relevez quatre avantages à tirer de la promotion des langues nationales selon Landry P.R Ndounou. (2pts : 0,5 x 4)

4- Reformulez la thèse du locuteur. (2 pts)

II-Travail d’écriture (10 points)

Pour Landry P.R Ndounou, il est important pour les Africains de revaloriser les langues nationales.

Etayez cette affirmation.

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9 mars 2017 4 09 /03 /mars /2017 12:52

 

Si nous, les moins jeunes, savions que nous empruntions cette terre à ceux qui viendront après nous, ainsi que nous l’enseigne un vieil adage africain, nous ne la prendrions pas en otage comme nous le faisons aujourd’hui. Nous ne l’exploiterions pas à outrance ni ne laisserions les jeunes générations grandir dans l’ignorance de ses exigences et des lois qui régissent son équilibre. Nous mettrions un soin particulier à la protéger et à la promouvoir, à en préserver les écosystèmes et la biodiversité. Nous remplacerions chaque arbre que nous coupons, recyclerions chaque déchet que nous produisons, et surveillerions de près notre  empreinte écologique pour la réguler afin que notre mode de vie ne soit pas désastreux pour l’environnement.

 

Si nous savions que la jeunesse est plurielle, qu’elle est urbaine et rurale, scolarisée et déscolarisée, lettrée et illettrée, en chômage déguisé et en chômage complet, qu’elle a des frustrations autant qu’elle a des attentes, qu’elle nourrit des ambitions autant qu’elle a, à son actif, des réalisations dignes d’intérêt, qu’elle sait être indomptable comme des lions mais aussi, qu’elle peut être moutonnière, nous ne tomberions pas dans le péché de l’homogénéisation lorsque nous parlons d’elle. Nous serions plus circonspects et moins carrés, plus nuancés et moins arbitraires dans les politiques que nous concoctons pour elle et parfois sans elle.

 

Si nous savions que l’école est la clé de l’avenir, qu’elle doit préparer à résoudre les problèmes de la vie et non s’y résigner, qu’elle doit apprendre la créativité et non être un facteur d’asservissement et d ‘habile conditionnement, nous mettrions un terme au psittacisme (1) et à la promotion des savoirs morts. Nous enseignerions aux jeunes de relier toute connaissance apprise aux situations et questionner les certitudes les plus ancrées. Nous leur enseignerions leurs langues maternelles pour leur permettre d’exprimer et d’assurer leur identité culturelle profonde. Nous ne les laisserions pas prendre de vertigineuses libertés avec les normes gouvernementales. Pour cela, nous ferions de l’éducation relative à l’environnement une priorité en mettant tout en œuvre pour qu’elle soit le vecteur d’acquisition de connaissances, d’aptitudes et d’attitudes orientées vers la sauvegarde de la création, de toute la création et des liens vitaux qui l’animent, la pérennisent.

 

Si nous savions que le prix de la violence, c’est la mort, que la violence n’est pas une solution, même conjoncturelle, mais un problème structurel, nous ne répondrions pas à la violence des jeunes par la violence, mais par la non-violence. Pour le philosophe français Jean-Marie Muller, « Jamais, nulle part, la violence n’est la solution.(…) Toujours, partout, la violence est une défaite, un drame, un malheur, une tragédie ». Comprendre et intégrer cette philosophie revient à « construire les ponts et détruire les murs » entre les jeunes et nous. Les ponts ouvrent des passages là où les murs forment des blocages. Face aux multiples contestations des jeunes, nous avons très souvent dressé et entretenu entre eux et nous des murs de haine sournoise au lieu de bâtir des ponts par-dessus nos malentendus pour promouvoir en toute lucidité le dialogue inter générationnel. Nous avons parfois préféré à la chaleur des débats le fracas des combats, reléguant aux oubliettes les vertus de la négociation et le devoir que nous avons de protéger les droits des plus jeunes.

 

Si nous savions que les zones rurales de nos pays ont des bras jeunes pour se développer, nous ne les laisserions pas se vider. Nous y construirions des structures de loisir et des infrastructures de développement. Nous y aménagerions des conditions de sécurité. Nous y engagerions un travail de salubrité matérielle et morale, de désenclavement physique te psychologique. Nous ferions voler en éclats le mythe des villes dans leurs imaginaires et découragerions par le même canal l’exode rural si dramatique pour nos pays aujourd’hui.

 

Si nous savions que les jeunes ont besoin d’écoute, qu’ils cherchent plus à se confier  à une oreille attentive qu’entrer dans une logique d’affrontement avec les ainés, nous aurions à leur égard un comportement, nous leur enseignerions la tolérance et nous aurions une chance de faire passer notre message dans la mesure où l’on enseigne plus ce que l’on est que ce que l’on sait ou dit. La force de l’exemple aidant, et la leçon s’imposant de génération en génération, le monde n’en deviendrait que plus humain et plus juste. Si vieillesse savait…

                                          Pasteur Jean-Blaise KENMOGNE, Ecovox, Yaoundé, novembre 2010

 

Psittacisme : répétition mécanique de phrase

 

I-Questions de compréhension et d’analyse (10 points)

 

1- Relevez et analysez trois indices de nature différente qui révèlent  l’implication du locuteur. (3pts)

 

2- Repérez et expliquez le mode de raisonnement contenu dans le deuxième paragraphe.

(2 pts)

 

3- Du troisième au cinquième paragraphe, reformulez la préoccupation principale du locuteur dans chacun de ces passages. (3pts)

  

4- Expliquez, selon le texte, les mots et expressions suivants : « moutonnière » (L.14) ; « savoirs morts » (L.21). (2 pts)

 

II-Travail d’écriture (10 points)

 

Pensez-vous, comme le locuteur, que de nos jours, l’éducation relative à l’environnement soit une priorité ?

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